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Enjoying Life

BOND VS BOND

10/30/2015

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Bond est le symbole d’une époque, Daniel Craig est aussi sombre et torturé que Pierce Brosnan était joyeux et clinquant : la crise contre le faste de l’après-guerre-froide.

  Alors que le 24ème volet de la série sortira dans les salles la semaine prochaine, The Economist propose une série de graphiques pour juger de l’évolution du mythique espion britannique.
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Alors que Bond a longtemps été considéré comme un symbole de violence et de misogynie, la saga a pris un tournant avec Daniel Craig. Moins de conquêtes, moins de morts mais plus de réalisme et plus de glamour, la recette gagnante pour un acteur qui a explosé le box-office en remplaçant Pierce Brosnan donnant un nouveau souffle à la saga. 
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Qui veut la peau de mes mascottes ?

10/30/2015

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Pour peu que l'on aime un peu le sport et notamment les grandes compétitions internationales retransmises à la télévision (Jeux Olympiques, Championnats du monde de football...), les mascottes nous sont familières. Familières mais bien loin d'être familiales. En effet, le passage a l'âge adulte a dû, comme pour moi, vous faire remarquer à quel point nos tigres, ours et aigles préférés étaient méprisés sinon détestés. Malheureux récipiendaires de jurons et parfois même de molestations, les mascottes sont depuis toujours en danger ! Le temps est peut-être venu de décortiquer ce phénomène de société méconnu, et pourtant si traumatisant pour toute une profession.

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De troubles origines


Aujourd'hui présentes dans des milieux aussi variés que le sport, la musique, la défense militaire, les entreprises ou encore les établissements scolaires, les mascottes ne furent pas toujours aussi impliquées dans le monde de l'entertainment.


Le terme « mascotte » est issu du provençal « mascoto », dénomination dont nous retrouvons les premières traces dans la première moitié du 18e siècle. Ce dernier terme est lui-même dérivé de « masco », synonyme de sorcière, magicienne et sortilège. Si de notre temps, la plupart des mascottes sont asexuées, nous noterons dès à présent le caractère maléfique de leur condition. Gardé bien secret, ce mal est bien loin des compétences démontrées par ces gros « nounours » : battles, dribbles, et pitreries en tout genre sont couramment à l'affiche. Et que dire du rêve créé, vendu et entretenu par Disneyland, au mépris de la sécurité de millions d'enfants ?


Revenons en à nos moutons, ou plutôt brebis galeuses. Les mascottes sont ainsi apparues dans le sud de la France au beau milieu d'une époque difficile pour le peuple (échecs des dernières guerres napoléoniennes), ce qui incita probablement de jeunes soldats inaptes au maniement des armes à laisser le sort de l'Empire aux bonnes danses quasi-shamaniques de nos animaux personnifiés. Quelque part, un peu à la Frankenstein, la mascotte est sortie du placenta sordide de l'Histoire : abandonnée, sans repères et donnée en pâture aux ennemis anglais et prusses.
























​« Un peu à la Frankenstein, la mascotte est sortie du placenta sordide de l'Histoire »


En 2015, force est de constater que les mascottes sont bien plus sollicitées de l'autre côté de l'Atlantique. Ce constat est sûrement causé par une culture du divertissement plus emphatique, donnant sur une offre d'emploi plus riche. Les possibilités de faire carrière et d'augmenter des émoluments non assortis de primes de risque sont par conséquent plus satisfaisantes pour ces « à plein temps » du spectacle. Et côté performances, vous le savez, les mascottes ne chôment pas !


Sous les feux de la rampe (pour de mauvaises raisons)


Nous l'avons écrit : la mascotte est le fruit d'un arbre étouffé par le lierre. C'est dire que son naturel espiègle revient toujours au galop. C'est dire que, malgré leurs efforts et leurs tentatives de bonification, Southpaw (White Sox de Chicago) et Sourdough Sam (49ers de San Francisco) ne seront jamais de bons samaritains. Tout au mieux, ils éviteront de se faire griller dans la profession mais cela n'ira pas sans débordements ponctuels.


Rappelez-vous ce jour où la mascotte des Hawks à proposer ses services extraconjugaux sur la tristement célèbre plate-forme Ashley Madison. Ou encore la fois où cette mascotte a provoqué une altercation avec un père de famille peu habitué aux joutes physiques.


Sans volonté d'exhaustivité sur ce sujet, nous sauron(s) toutefois reconnaître la part de responsabilité des mascottes dans l'acharnement dont elles sont victimes depuis des lustres. Cet acharnement, je l'ai constaté à titre personnel.


Le retour du boomerang


Quelques années en arrière, je me rendis à un match de notre équipe de rugby fanion en famille, match que nous remportâmes sans grande difficulté par ailleurs. Cela n'empêcha pas l'un de mes proches de menacer verbalement l'éléphant du club. Il eut peu ou prou ces paroles : « J'ai envie de lui éclater la trompe ». Cet épisode me valut une première introduction réflexive à l'animosité générée par ces « MC » (maîtres de cérémonie) déguisés...


Nous ne pourrions pas parler du triste sort des mascottes sans évoquer l'affaire « Mekhissi ». Athlète français multi-médaillé lors de grands championnats de demi-fond, il fut mis en cause dans deux affaires d'agressions de mascottes, non liées selon les conclusions des différentes enquêtes. D'abord ici, puis là. Somme toute non provoqué, Mahiedine est difficilement excusable même si ce dernier se défendit dans un entretien accordé au Monde, expliquant que la récidive prouvait bel et bien qu'il ne portait aucune haine contre les mascottes mais plutôt une forme d'inconséquence, de nonchalance chronique à leur égard. Nos amis pénalistes, je les entends, ne sont pas d'accord !


Happy end ?


Peu importe, imaginons un instant l'improbable. Et si Mahiedine disait finalement vrai ? Et si les mascottes, telle une farce de l'Histoire, nous l'avons vu, étaient destinées à être maltraitées de manière universelle et intemporelle ? Et s'il n'y avait pas d'autre explication que celle de la vicissitude alpha des mascottes pour légitimer le traitement qui leur est réservé ?


Toujours en suspens, ces questions résonnent pourtant plus subtilement dans nos esprits à raison des quelques propos développés ici. Et puis, pour ceux qui s'inquièteraient vraiment du sort ultime de nos compagnons de bière et de pop corn, rassurez-vous : Kanye West, futur président américain, a d'ores et déjà annoncé que les mascottes, quelques soient leurs origines ethniques et leurs donneurs d'ordre, bénéficieraient dès son hypothétique investiture de l'immunité diplomatique. Nul doute que cette mesure soit liée à son premier grand succès, The College Dropout, dont la jaquette ne représentait rien d'autre qu'une mascotte aux allures d'ursidés.


​Bref, fais attention la prochaine fois que tu touches à une de mes mascottes.



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FTS

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Jordan fête ses 30 ans en Chine avec House of Flight 

10/16/2015

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Plus qu'un nom, Michael Jordan est un esprit, une idée, elle a d'abord émergé dans le sport puis a envahi le monde de la sneakers et du streetwear.
Pour célébrer les 30 ans de la marque, MJ s’est rendu en Chine accompagné du designer Tinker Hatfield ainsi que des athlètes jordans. L’événement a eu lieu dans « The Innovative House of Flight », un espace hors du commun ayant pour but de faire voyager le visiteur à travers la vie et l’histoire du légendaire joueur de basket.
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On vous laisse apprécier les meilleurs clichés de cet événement et de l’exposition. 

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Picasso au grand palais 

10/13/2015

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Au cours d’une exposition unique au grand palais, le maître Picasso nous est  livré à travers la confrontation aux plus grands maîtres de l’art contemporain : David  Hockney, Jasper Johns, Roy Lichtenstein, Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat…
L’occasion unique pour les Parisiens et visiteurs de découvrir ou redécouvrir les œuvres –dont certaines jamais exposées en publique jusqu’alors- du génie qui marqua à tout jamais l’histoire de l’art par sa créativité et sa volonté de briser les codes.
Picasso est un mythe, cette exposition est son conte, on y retrace le parcours de l’artiste, ses différentes phases et l’on rebâtit pierre après pierre la légende.
Aux grandes phases stylistiques, à certaines œuvres emblématiques de Pablo Picasso, telles que Les Demoiselles d’Avignon et Guernica, répondent les œuvres contemporaines de Hockney, Johns, Lichtenstein, Kippenberger, Warhol, Basquiat ou encore Jeff Koons.
Ce dialogue entre les époques nous entraine dans les souterrains de l’art contemporain, ses influences, les échanges conscients et inconscients entre les artistes.
Bref à voir absolument !

​R.R

                     Les meilleurs clichés trouvés sur les réseaux sociaux 

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