Le titre de la chronique de Rafik Chekkat annonce déjà qu'on est mal barré. « On n'est jamais mieux sali que par soi-même » s'intitule, tout en finesse, cette critique de Divines, premier long métrage d'Houda Benyamina qui vient tout juste de rafler trois Césars (meilleur espoir féminin, meilleur second rôle et meilleur premier film). Il convient d'abord de s'arrêter sur la notion de « souillure » qui sous-tend le titre de cette chronique extrêmement violente, puisqu'elle apparaît comme le fil rouge de la critique opérée par Mr. Chekkat, qui semble ne pas se remettre du manque de pureté des femmes représentées dans l'univers fictif construit par Houda Benyamina. C'est depuis la « gauche radicale » et au nom du féminisme et de la défense des racisé-e-s que Mr. Chekkat s'exprime. Celui-ci opère, hélas, un dangereux renversement qui nous rappelle tristement qu'il est commun de se réclamer de ces valeurs (de « gauche » ou « féministe », indépendamment de la variété des spectres de chacun de ces mouvements de pensée) et de n'avoir de radical qu'un dangereux dogmatisme. C'est en fait une succession de normes morales et figées qu'en tant que « féministe », Mr. Chekkat semble exiger de la représentation que l'on fait des femmes racisé-e-s à l'écran, et plus encore qu'elles font d'elles-même. Cette « leçon de morale » sans rigueur dans son argumentation nous rappelle qu'il est toujours plus douloureux d'être confronté à la bêtise quand elle se réclame de notre propre camp. « Obscénité, exotisation et érotisation des corps des femmes noires et arabes », tonne d'emblée le chroniqueur. Ce sont les premiers mots qu'il aligne comme des cartouches pour descendre ce film de fiction qui met en scène Dounia et Maïmouna, deux jeunes adolescentes prêtes à tout, ensemble, pour s'extraire de la misère gluante de leur quotidien. Dès le départ, il est clair que ce qui dérange Mr. Chekkat, c'est bien la représentation de ces personnages féminins, à qui il reproche dans une agaçante litanie d'être « obscènes » « exotisées » et « érotisées » sans jamais expliquer pourquoi, ce qui nous amène à nous demander d'abord dans quel mesure un film est-il condamnable parce qu'il met en scène des personnages féminins non-exemplaires, si l'on concède au chroniqueur ces qualificatifs (en eux-mêmes contestables) contraires à une certaine idée de la morale. Il semblerait pour Mr. Chekkat que les femmes noires et arabes aient déjà assez de problèmes dans la vie pour qu'en plus elles soient représentées si amorales. Pourquoi la femme noire ou arabe n'aurait pas le droit d'être obscène ou érotique - ou les deux à la fois – on ne sait pas. Sous prétexte qu'il s'agit de minorités, doivent-elles être exclusivement représentées conformément à une certaine morale qui semble être – avant toute chose – celle de Mr. Chekkat ? Quand je pense aux deux personnages féminins au cœur de l'intrigue de Divines, c'est leur puissance qui me revient : à la manière de personnages de femmes des tragédies antiques, je me souviens de leur force, de leur détermination et de leur acharnement, qui m'ont bouleversée autant que leur fragilité et leur immaturité. Dans Divines, ce sont des histoires de rêves, entre autres, que l'on nous raconte : ceux de deux adolescentes qui veulent sortir de leur ghetto, conscientes que la réalisation de leur rêve dépend d'une condition sine qua non : l'argent. La force du film tient pour beaucoup à la justesse avec laquelle il dessine les contradictions de l'adolescence, cet âge charnière de la vie si délicat à représenter, celui des premiers troubles et des premières ivresses, celui où la lutte est toujours passionnée et la passion parfois funeste. « Comment a-t-on pu encenser et donner une portée politique et sociale à un film à ce point médiocre, pathétique et sans espoir ? » questionne le chroniqueur, sur le mode de la plainte voire du gémissement strident. Mr. Chekkat s'insurge, sans chercher, justement, a comprendre ce qui, dans Divines, a pu plaire, et plaît. On comprend bien qu'il ne trouve à Divines aucune qualité, et aucune originalité. Celui-ci ne cesse par la suite de se complaire dans son exaspération : c'est d'abord que c'est un film « pathétique » mais plus encore qu'il est « sans espoir » ; et là, on touche quelque chose d'important. Parce qu'il est sans espoir donc, Divines est condamnable. Mais pourquoi donc ? On ne peut pas décemment croire que Mr. Chekkat n'accorde ses grâces qu'aux films qui délivrent un message d'amour et d'espérance. Serait-ce parce qu'un film sur la banlieue, ça doit faire espérer ? Serait-ce donc qu'à ce pré- requis de l'ordre de la morale lui aussi, le film ose échapper ? Aïe aïe aïe, nous voila retombés dans un vieux débat vaste et stérile cher aux moralistes de tous temps : l'art doit-il être moral ? La question que l'on peut poser ici naturellement, c'est aussi : la banlieue a-t-elle le droit d'être désespérée ? Pour le chroniqueur, c'est un non vindicatif. Explications. « Aucun qualificatif n'est pourtant assez dur pour exprimer ce que l'on ressent face à un tel spectacle, au cours duquel la réalisatrice enfile les clichés les uns après les autres ». Face à tant d'immoralité, donc, c'est par la « dureté » qu'il faut répondre, assène Mr. Chekkat en vrai garant de la morale publique. L' « obscénité » et « l'érotisme » supposé de Divines, il faut le réprimer voire le punir. Divines est un film « ringard », composé d'une succession de scènes qui non seulement sont « ratées » (pourquoi et comment, on ne sait pas mais cela semble évident à notre chroniqueur qui, par ailleurs jamais n'évoquera la forme du film, se cantonnant à ce qu'il en a perçu du « fond »), mais aussi « gênantes » (retour aux bonnes mœurs de facto, donc). « Sur fond d'histoire d'amour douteuse dans une cité improbable, trois jeunes femmes ont pour unique préoccupation de se faire de l'argent. » Dounia, personnage féminin au coeur de l'intrigue de Divines, est fascinée par un jeune homme - vigile de jour et danseur dans son temps libre - , qu'elle va observer en secret pendant ses répétitions, submergée malgré elle par un trouble violent qu'elle a du mal à maîtriser. Le jeune homme, qui découvre la voyeuse, n'est pas indifférent non plus à la mystérieuse jeune fille qui s'échappe dès qu'elle est découverte. Cette histoire d'amour qui naît est donc « douteuse » : mais de quoi doute-t-on ? De son caractère réaliste ? Le cinéma et l'art en général ont-t-il pour impératif de représenter des histoires d'amour réalistes ? Non. Mais alors un film sur la banlieue, si ? Et pourquoi donc, Mr. Chekkat, je vous le demande. Et si ce n'est pas le réalisme qui est mis en doute, qu'est-ce donc alors ? Mystère. La cité dans laquelle se déroule l'intrigue est, elle, taxée d'« improbable » (même critique donc, puisqu'il s'agit d'attaquer le réalisme de la cité, décor de l'histoire d'amour « douteuse », et du reste du film). Le plus scandaleux aux yeux de notre chroniqueur visiblement, c'est pourtant cela : « trois jeunes femmes ont pour unique préoccupation de se faire de l'argent », alors là, voila la morale frappée en plein cœur. Comment ça, des femmes de banlieue qui rêvent d'argent ? A-t-on bien vu et entendu ? Pour Mr. Chekkat, rêver d'argent, c'est moche, ou plutôt sale, comme il le dit. C'est un postulat très contestable, et un peu hypocrite aussi. Il semblerait que rêver d'argent, aujourd'hui, soit plutôt commun, et pas très original. Ce qui me turlupine plus encore, c'est que derrière ce constat outré, il s'agit en fait pour Mr. Chekkat de dire que les jeunes noires et arabes, quand elles sont représentées à l'écran, devraient avoir des aspirations plus pures. N'ont elles pas le droit elles aussi de rêver d'argent, de fric, de thune, de flouz, de bif, pour avoir une vie meilleure, comme beaucoup d'entre nous, Mr. Chekkat ? Non, les personnages féminins de Divines ne manquent pas de noblesse. Plus encore, cette question nous ramène à un problème fondamental qui projette son ombre sur toute la réflexion de notre chroniqueur : en Dounia et sa meilleure amie, Maïmouna, celui-ci ne voit qu'une chose, qui l'aveugle : elles sont noires et arabes. La réussite de Divines, c'est précisément de ne pas raconter la saga d'une femme noire et d'une femme arabe en banlieue, mais de deux jeunes adolescentes immatures et pleines de fougue qui rêvent de renverser ce qui les entoure, prêtes à tout pour s'échapper de leur condition sociale (et, de fait, elles sont racisées et banlieusardes). Qu'est-ce qui est « le plus » constitutif de leur identité ? Etre femme ? Racisée ? Banlieusarde ? Adolescentes ? Françaises ? Pauvres ? Comme beaucoup d'adolescents, Maïmouna et surtout Dounia, sont animées puissamment par un sentiment d'injustice qui leur donne envie de tout cramer. C'est au nom d'un certain féminisme que Mr. Chekkat fustige Divines sans aucune délicatesse. Je condamne le fait de ne voir en elles que des « racisées » de « banlieue » ce qui est une façon de négliger la dimension bien plus grande d'un film qui raconte, pour reprendre les mots de la réalisatrice, l' « éducation sentimentale » de son personnage principal. Plus loin, le chroniqueur semble se rattraper en réalisant que la vraisemblance du film importe peu, concédant qu'il s'agit d'une « œuvre de fiction » et non d'un « documentaire ». C'est bien le seul point sur lequel Mr. Chekkat et moi sommes d'accord. Opérant alors un virage dans son argumentation, il assène que ce n'est pas le réalisme du film qu'il faut fustiger, (ce qu'il n'a quand même pas pu s'empêcher de faire) mais plutôt « l'intention de la réalisatrice » : « Des femmes qui doivent se faire une place dans un univers masculin ultra violent, on a déjà vu ça des dizaines de fois au cinéma. » Mais comment le sujet est-il traité dans Divines, avec quels moyens narratifs et cinématographiques ? Mr. Chekkat n'entre jamais dans les détails de la construction, à proprement parler, du film. « Quel est l'intérêt aujourd'hui de nous montrer les péripéties des dealeuses qui imposent leur loi au quartier et font jeu égal en matière de violence avec les hommes ? » se demande-t-il encore ? Le même intérêt que celui de montrer des péripéties de dealers hommes, et le même intérêt encore que de montrer des péripéties tout court, il me semble, ce qui est plutôt fréquent dans l'art en général. Je me demande d'ailleurs pourquoi « montrer les péripéties des dealeuses qui imposent leur loi au quartier et font jeu égal en matière de violence avec les hommes » est si problématique. Pas parce que ça manque de réalisme donc, si l'on suit le développement de l'argumentaire du chroniqueur qui affirme que le réalisme n'est pas la question. Parce que les femmes noires et arabes méritent d'être représentées autrement, en personnages « moraux », ni vulgaires ni obscènes, donc ? Il convient dès lors de se demander ce qui aux yeux de Mr. Chekkat fait de Dounia, Maïmouna et Rebecca des personnages « vulgaires » ou « obscènes » : serait-ce leur fascination pour l'argent, ou encore leurs fréquents jurons, combiné à leur rouge à lèvres rouge vif et à leurs robes moulantes quand elles s'incrustent dans une soirée mondaine ? La force de Divines, c'est de traiter ces personnages de jeunes filles au-delà du fait qu'elles soient racisées, et c'est cela au fond qui fâche peut-être notre chroniqueur. Combattre pour plus de justice pour les racisé-e-s signifie-t-il qu'il faille se cantonner à une représentation « positive » et sympathique des noirs et des arabes ? Et d'ailleurs est-on bien sûr que ces personnages soient si antipathiques ? Traitées avec tendresse, autant dans le fond que dans la forme, Dounia, Maïmouna et même Rebecca la dealeuse sans pitié, sont bercées de contradictions profondément humaines qui les rendent, non seulement admirables dans leur rage de vivre, mais aussi extrêmement attachantes. La caméra rend justice à cet éclat dont elles sont toutes trois empreintes. « Quel est le propos de Houda Benyamina et quel public ce propos vise-t-il ? En un mot, pour qui ces filles sont elles divines ? » s'interroge encore Mr. Chekkat. Le titre du film, Divines, renvoie selon les propos de la réalisatrice à l'importance du spirituel qui imprègne le film : illustré par la pregnance de la religion et des tiraillements qu'elle suscite en Dounia et Maïmouna, mais aussi par des questionnements plus métaphysiques qui traversent les deux amies en quête de sens. « Divines » elles le sont, parce que profondément vivantes jusqu'au bout, et leurs rires et leurs sanglots, filmés de près, crèvent l'écran et le coeur. « Parce qu'il est réalisé et interprété par des Arabes et des Noires et qu'il traite d'un sujet de société, le film a été qualifié d'oeuvre courageuse, progressiste, et même féministe. Un féminisme que viendrait illustrer la fameuse réplique « T'as du clitoris, j'aime bien ! » » C'est précisément, pour le chroniqueur, parce qu'il est réalisé et interprété par des racisées que le film aurait du être différent. C'est là la faille la plus flagrante de l'argumentation de Mr. Chekkat, obsédé par ce que devrait être une bonne représentation des femmes racisé-e-s et donnant par là, au passage, une leçon morale « d'homme à femme racisée » plutôt cocasse. Selon moi, Divines parle de la banlieue comme d'une toile dans laquelle quand on est pris, il est presqu'impossible de sortir, quelle que soit la puissance avec laquelle on se débat, ce qui est le cas, d'ailleurs, de tous les « ghettos » quels qu'ils soient. Que les personnages masculins soient presque absents dans le film, comme le note le chroniqueur, n'est pas un argument pour faire du film un film « féministe », c'est vrai. Au-delà de la fameuse réplique du personnage de Rebecca, « T'as du clitoris, j'aime bien ! », dont la réalisatrice revendique la maternité, dans Divines s'opère un indéniable renversement des attributs de la « masculinité » et de la « féminité » tels qu'ils sont construits et ancrés dans notre société. Le paysage est presque lavé de la présence masculine, les filles – et femmes – sont déterminées dans les quêtes qu'elles accomplissent sans les hommes, tandis que la seule histoire d'amour du film naît (et ce n'est pas par hasard) entre un jeune homme blanc passionné par la danse, que le personnage principal, Dounia, observe dans la posture de « voyeur », dans un renversement du cliché on ne peut plus clair. C'est précisément en cela aussi que Divines est un film précieux et politique : les hommes sont relayés au second plan, ils sont accessoires, sortent du domaine du nécessaire, de l'essentiel, et ça fait du bien. « L'inversion des genres n'est qu'apparente. Rebecca, Maïmouna et Dounia se comportent en réalité comme des caricatures de dealeurs de banlieue. Elles s'achètent des Air Max et rêvent de beaux mecs (blonds), de Ferrari et de vacances à Phuket. » écrit encore Mr. Chekkat. Qu'est-ce qui est si dérangeant dans la représentation de filles qui rêvent d'Air Max et de mecs bodybuildés ? Le plus aliéné d'entre tous n'est-ce pas celui qui s'insurge que des filles qui rêvent aux mêmes choses que certains garçons ? Que cette représentation du rêve de banlieusard soit caricaturale, pourquoi pas, mais n'est-ce pas justement une partie de la jouissance que procure le film, que de voir ces filles capables de s'offrir tous les clichés dont elles rêvent comme leurs confrères de la cité ? Aurait-il été plus « féministe » qu'elles rêvent d'acheter un appartement et de partir en vacances dans un gîte en Vendée, pour « briser les clichés » ? Si le chroniqueur considère que la réalisatrice « exotise » les personnages de Divines, il est intéressant de se demander à nouveau en quoi il est « exotisant » de rêver de Ferrari et d'Air max et si ces rêves là sont seulement ceux des racisé-e-s de banlieue, ou bien plutôt des rêves codifiés portés par toute une jeunesse française, et toute une génération. Indépendamment des trois personnages de jeunes filles, « les seules figures féminines que donnent à voir la réalisatrice sont une fonctionnaire dépressive, une prostituée et une sorcière », résume grossièrement Mr. Chekkat, désignant par la la prof de lycée exaspérée que l'on voit tenter de canaliser la rage de Dounia sans succès, la mère de Dounia (qualifiée de « prostituée » parce qu'elle a des relations sexuelles avec plusieurs hommes dans le film, sans qu'à aucun moment soit mentionné le fait qu'il s'agisse de relations tarifées ; raccourci intéressant, donc) et la mère de Maïmouna, qualifiée de « sorcière » au prétexte que Maïmouna évoque les « sorts » que celle-ci lui aurait jetée pour la punir. Ce qui se dit là encore entre les lignes de cette chronique, c'est que les femmes ne devraient pas être représentées si laides ; dépressives, légères, ou encore inquiétantes. Ces personnages de femmes adultes, asphixiant dans la misère économique et sociale dans laquelle elles progressent au ralenti, sont avant tout fragiles. C'est cette fragilité là que l'on retrouve aussi chez Dounia, Maïmouna et Rebecca, les trois adolescentes. Qu'aucun « rôle féminin positif » ne soit mis en avant peut nous pousser à nous demander, une fois de plus, pourquoi un film devrait nous imposer des modèles et surtout qui est légitime pour définir les critères de cette « modélité ». « Si un Blanc s'était amusé à compiler autant de clichés racistes et sexistes dans un long-métrage, à faire preuve d'une telle complaisance vis-à-vis de la violence, constamment euphémisée et esthétisée, beaucoup auraient crié au scandale. » Le problème de la réception de Divines n'est pas seulement qu'il est reçu exclusivement comme un film sur la banlieue, mais aussi qu'il est reçu exclusivement comme un film sur la banlieue réalisé par une femme racisée de banlieue. Cette incapacité à recevoir l'oeuvre indépendamment de l'individu qui en est l'auteur, voire de ses intentions affichées ou fantasmées, doit hélas faire se retourner Barthes, Foucault et tous les autres, dans leur tombes. En dépit des attaques personnelles faites à la réalisatrice, c'est enfin la « leçon » à tirer de Divines qu'il faut condamner selon le chroniqueur, puisque le « message » adressé aux racisé-e-s serait à ses yeux que le « ticket d'entrée {dans le monde du cinéma}consiste le plus souvent à cracher sur sa communauté, à répondre au cahier des charges raciste et sexiste ». Analyse finale aberrante, qui néglige tout ce qui fait que Divines est une œuvre d'art et non pas un pamphlet politique, un film et non pas un « message ». Réduire ce long-métrage bien rythmé, à l'intrigue haletante et aux actrices admirablement dirigées à un « crachat », est à la fois extrêmement violent et criant de mauvaise foi. Il n'en demeure pas moins que Divines a bouleversé le public parce qu'il raconte une histoire qui fonctionne, qui nous prend aux tripes, et nous laisse un peu de cette rage qui éclabousse l'écran.
Cléo Cohen
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Juin 2017
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